À Aubervilliers, la cité Émile-Dubois dite « Les 800 » s’effacent sous la rénovation urbaine. Pour que la mémoire des habitant·es perdure, histoires et objets ont été rassemblés esquissant un musée possible du quartier.
La démolition à venir de plusieurs bâtiments de la cité des 800, entraîne le relogement de ses habitant·es et l’effacement d’une partie du quartier. L'association Amulop a cherché des traces matérielles qui pourraient faire perdurer malgré tout une mémoire populaire de la cité.
Il y a trois ans l'Amulop fait vivre aux visiteur·euses les histoires d’habitant·es de l’allée Grosperrin avec l’exposition La vie HLM. Au cours de l’année 2025, l'Amulop a relancé l’enquête sous une autre forme et cette fois à l’échelle du quartier entier, auprès des habitant·es, en faisant du porte-à-porte, en croisant des voisin·es qui déménageaient, en recevant l’aide des associations et acteur·ices du quartier, ou encore à l’occasion d’une brocante.
Le résultat : c’est une collecte d’objets et de témoignages qui éclairent les parcours d’habitant·es, mais aussi les usages et la valeur accordée à chacun des objets collectés.
Du téléphone à la théière, en passant par la peluche et le papier peint, chaque objet témoigne d’un parcours de vie. Tous ensemble ils racontent le quotidien et la richesse des relations sociales au sein de la cité des 800 depuis sa construction.
Dans une exposition à ne pas manquer, à deux pas du métro Fort d’Aubervilliers, au sein de la barre Grosperrin qui doit bientôt être détruite, vous êtes invités à venir découvrir ces objets ainsi que les paroles d’habitant·es qui ont été re recueillies. Elles composent une histoire quotidienne, sensible et souvent surprenante. Les banlieues populaires comme on les raconte rarement !
>>> Sur réservation
>>> Durée : 1 heure
Il y a trois ans l'Amulop fait vivre aux visiteur·euses les histoires d’habitant·es de l’allée Grosperrin avec l’exposition La vie HLM. Au cours de l’année 2025, l'Amulop a relancé l’enquête sous une autre forme et cette fois à l’échelle du quartier entier, auprès des habitant·es, en faisant du porte-à-porte, en croisant des voisin·es qui déménageaient, en recevant l’aide des associations et acteur·ices du quartier, ou encore à l’occasion d’une brocante.
Le résultat : c’est une collecte d’objets et de témoignages qui éclairent les parcours d’habitant·es, mais aussi les usages et la valeur accordée à chacun des objets collectés.
Du téléphone à la théière, en passant par la peluche et le papier peint, chaque objet témoigne d’un parcours de vie. Tous ensemble ils racontent le quotidien et la richesse des relations sociales au sein de la cité des 800 depuis sa construction.
Dans une exposition à ne pas manquer, à deux pas du métro Fort d’Aubervilliers, au sein de la barre Grosperrin qui doit bientôt être détruite, vous êtes invités à venir découvrir ces objets ainsi que les paroles d’habitant·es qui ont été re recueillies. Elles composent une histoire quotidienne, sensible et souvent surprenante. Les banlieues populaires comme on les raconte rarement !
>>> Sur réservation
>>> Durée : 1 heure

